N'excédant pas | 750 000 euros | 0 % | Montant total : 0 € |
Comprise entre | 750 000 et 1 200 000 euros | 0,55 % | 0 à 2 475 € |
Comprise entre | 1 200 000 et 2 380 000 euros | 0,75 % | 2 475 à 11 325 € |
Comprise entre | 2 380 000 et 3 730 000 euros | 1 % | 11 325 à 24 825 € |
Comprise entre | 3 730 000 et 7 140 000 euros | 1,30 % | 24 825 à 69 155 € |
Comprise entre | 7 140 000 et 15 530 000 euros | 1,65 % | 69 155 à 207 590 € |
Supérieur à | 15 530 000 euros | 1,80 % | > 207 590 € |
Du "Soir" : "L'idée de dresser les isoloirs dès le 13 mai avait été évoquée, mais elle a été recalée par les libéraux francophones pour cause de proximité avec le second tour des présidentielles en France, prévu le 6 mai. A bonnes sources gouvernementales, on confirme que le président du MR avait posé son veto, considérant qu'une éventuelle victoire de Ségolène Royal outre-Quiévrain risquait de bénéficier au parti socialiste ; davantage qu'une victoire de Sarkozy ne pourrait profiter au MR."
Amusant, non ? Ils (les politiques) ont tous beau s'en défendre, les Wallons et, dans une moindre mesure, les Bruxellois francophones sont tounés vers la France.
"Quand Paris s'enrhume, Bruxelles tousse !"
Quand aux résultats, même David Coppi, pourtant "la voix de son maître" (Di Rupo) semble ne plus vraiment en espérer grand chose : "(...) un gouvernement provisoire d'union nationale jusqu'à 2009, qui exécuterait le chantier institutionnel (la réforme du Sénat, notamment) et conviendrait de regrouper les scrutins à l'avenir ; 2009, année des régionales et européennes, deviendrait donc aussi celle de nouvelles législatives.
En somme, la Belgique politique repartirait à zéro, du Nord au Sud. Un scénario exceptionnel, supposant qu'un consensus resterait possible entre les communautés sur le maintien d'un Etat commun."
Je ne sais pas, à l'heure actuelle si mon parti décidera de me demander d'être candidat, mais voici mon tract de 2003. Il a à peine vieilli...
Un ami m'envoie ce point de vue sur la presse.
Noam Chomsky (*) explique qu’un journal ou une chaîne de télévision « est une entreprise qui vend un produit ». Et que le produit vendu, c’est le public ! Il est le seul vrai produit vendu par la presse écrite et audiovisuelle sur un marché bien spécifique : le marché de la publicité. Dans une perspective privée de rentabilité, le journal ou la chaîne de télévision n’existe pas pour lui-même contrairement à ce qu’on pourrait croire mais pour vendre un public potentiel à des annonceurs, un public susceptible d’être intéressé par des publicités, c’est-à-dire par des produits à acheter. Les médias vendent donc des publics !
Décoiffant, non ?
(*) Professeur honoraire de linguistique au Massachusetts Institute of Technology. Considéré comme le fondateur (controversé) de la "grammaire générative et transformationnelle".
C'est dans ses ouvrages "Illusions nécessaires" et "La Fabrique de l'opinion publique", que Chomsky s’attache à mettre en évidence les processus par lesquels les médias tendent à enfermer les sociétés démocratiques dans un carcan idéologique. Sa critique porte sur le fonctionnement global de l'institution médiatique dans ses rapports avec les pouvoirs économique et politique. Chomsky montre comment les médias noient la masse électorale sous un flot d’informations beaucoup trop dense pour servir de support de réflexion et qui converge, en définitive, vers des analyses à sens unique, fondées sur des présupposés que l’on évite soigneusement de remettre en question. C’est en particulier à travers l’analyse du traitement médiatique des conflits armés que Chomsky dévoile la dépendance des médias envers les pouvoirs économique et politique. En cherchant à démythifier la prétendue neutralité des médias, Chomsky entend œuvrer pour l’émancipation intellectuelle de la société.
« Le courage. C'est de refuser la loi du mensonge triomphant, de
chercher la vérité et de la dire » (Jean Jaurès)
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« (…) il n'existe aucun accommodement durable entre ceux qui cherchent, pèsent, dissèquent, et s'honorent d'être capables de penser demain autrement
qu'aujourd'hui et ceux qui croient ou affirment de croire et obligent sous peine de mort leurs semblables a en faire autant. » (Marguerite
Yourcenar)
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« Ce qui nous intéresse ce n'est pas la prise de pouvoir mais la prise de conscience. » (Armand Gatti)
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