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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 18:36

Au moment ou le pouvoir d'achat devient le problème numéro 1 des salariés, l'agence Belga a annoncé que les dotations royales et princières connaissent dans le budget 2008 une inflation de 5,5 pc par rapport à l'an dernier.
La reine Fabiola devrait recevoir 1,52 million d'euros (+5,1 %), le prince Philippe 961.000 (+5,6 %), la princesse Astrid 333.000 (+5,7 %) et le prince Laurent 319.000 (+5,6 %). Quant au roi, sa liste civile est évaluée à 9,93 millions (+5,1 %). Le montant total des dotations est de 13,04 millions.

Allons, tout va bien ! Les problèmes de pouvoir d'achat de certaines catégories défavorisées de la population ne seront bientôt plus qu'un mauvais souvenir.
Pfffffff !

Un graphique qui vous donne une idée des salaires des chefs d'Etat de différents pays européens... A titre de comparaison, le salaire du président français, Nicolas Sarkozy (qui a été plus que doublé avec comme objectif de le mettre au niveau de celui de son premier ministre - 240.000 euros brut /an) consiste en une indemnité mensuelle de 18.690 euros (bruts !), contre environ 7.700 euros bruts dont se satisfaisait Chirac (pension de retraite : 30.000 euros).

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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 12:15

L'événement (Que dis-je ? le séisme !) majeur d'hier (*), la retraite sportive de Justine Henin, n'a pas tout à fait occulté la visite des trois délégués du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe. A ce propos, certains journalistes et hommes politiques pêchent par omission en parlant de « Représentant du Conseil de l'Europe » à propos de ces émissaires venus en mission de suivi de la démocratie dans trois communes de la périphérie bruxelloise. 
  

Certes, le Conseil de l'Europe a toujours reconnu l'importance de la démocratie aux niveaux local et régional et s'investi dans la promotion (le terme est important) d’une autonomie locale qui réponde aux besoins des citoyens partout où ils se trouvent. Le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux – qui n'est qu'une instance mineure - a ainsi recommandé l’élection directe des bourgmestres sans intervention d'une tutelle (Ce que la Wallonie applique). Rien d'étonnant donc aux propos jugés négatifs des trois envoyés du Congrès. Gageons que le rapport de « de monitoring » ira dans ce sens. L'interview de Michel Guégan (curieusement qualifié uniquement de « Breton » et pas de « Français » …) ce matin à la RTB(f) montre toutes les limites de ce genre d'exercice. N'étaient ses propos à titre personnel interprétés différemment des deux côtés de la frontière linguistique il est resté extrêmement prudent, neutre même, ne sortant pas du cadre local et des termes de sa mission et faisant appel à la modération et au bon sens pour le reste. Il est vrai que dans la culture politique française, les politiciens ont une vision de service au Peuple. Ils se considèrent comme les élus de tous, sans distinction… Ce qui est en contradiction avec la culture politique locale communautariste et partisane difficile à assimiler pour un démocrate.
 

Pendant ce temps, « l'International Herald Tribune » et les autres journaux du groupe ( le « New York Times »  et le « Boston Globe ») exprimait son inquiétude (pour être gentil) sur l'avenir de la Belgique : « The fight over BHV "will be seen as the start of the war between the Flemish and the French-speakers," he said. "The Flemish people are becoming more self-aware and more decisive. We've been ruled long enough by the French people, and our time has come. It may take 10, 20 or 30 years. But this Belgium will become superfluous. » et sur ce qui s'y passe :  « This combination of national pride, rightist politics, language purity and racially tinged opposition to big-city mores and immigration is a classic formula these days in modern Europe, a kind of nonviolent fascism.  »
 

Charte du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe  

Charte européenne de l'autonomie locale 
 

(*) Qui dira encore que les journalistes, comme les politiciens, ne s'intéressent pas aux « vrais problèmes des gens ». La preuve ? Entre vingt et trente minutes consacrés aux JT du soir (RTB(f) et RTL-TVi) à la conférence de presse de la championne.

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9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 12:37

En mars 2007, je publiais sous le titre : "Pensions de retraite, vieillissement de la population, quel est le vrai débat ?",  un billet consacré au vieillissement comparé des populations wallonnes, française et flamandes.

Le Bureau du Plan vient de publier
un important dossier sur les perspectives d'évolution des populations par régions. Je ne peux que vous inviter à le parcourir.
Il s'agit d'un document indispensable à tous ceux - au premier rang desquels les politiques - qui veulent appréhender l'avenir.

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9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 12:02

Excellent dessin de Kroll ! Il résume parfaitement les réactions des deux camps en présence.
... Et de leurs publics !
M. à J. : Vincent de Coorebyter,  Directeur général du Crisp, ne dit rien d'autre dans sa chronique du 13 mai 2008 dans "Le Soir"...

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9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 06:02

Comparaison n'est pas raison, mais ce texte d'Alphonse Daudet pourrait redevenir d'actualité - qui sait ? - dans les communes à facilités de la périphérie bruxelloise...

Ce matin-là j'étais très en retard pour aller à l'école, et j'avais grand-peur d'être grondé, d'autant que M. Hamel nous avait dit qu'il nous interrogerait sur les participes, et je n'en savais pas le premier mot. Un moment l'idée me vint de manquer la classe et de prendre ma course à travers champs.
Le temps était si chaud, si clair.
On entendait les merles siffler à la lisière du bois, et dans le pré Rippert derrière la scierie, les Prussiens qui faisaient l'exercice. Tout cela me tentait bien plus que la règle des participes; mais j'eus la force de résister, et je courus bien vite vers l'école.
En passant devant la mairie, je vis qu'il y avait du monde arrêté près du petit grillage aux affiches. Depuis deux ans, c'est de là que nous sont venues toutes les mauvaises nouvelles, les batailles perdues, les réquisitions, les ordres de commandature; et je pensai sans m'arrêter:
«Qu'est-ce qu'il y a encore?»
Alors, comme je traversais la place en courant, le forgeron Wachter, qui était là avec son apprenti en train de lire l'affiche, me cria:
--«Ne te dépêche pas tant, petit; tu y arriveras toujours assez tôt à ton école!»
Je crus qu'il se moquait de moi, et j'entrai tout essoufflé dans la petite cour de M. Hamel.
D'ordinaire, au commencement de la classe, il se faisait un grand tapage qu'on entendait jusque dans la rue, les pupitres ouverts, fermés, les leçons qu'on répétait très haut tous ensemble en se bouchant les oreilles pour mieux apprendre, et la grosse règle du maître qui tapait sur les tables:
«Un peu de silence!»
Je comptais sur tout ce train pour gagner mon banc sans être vu; mais justement ce jour-là tout était tranquille, comme un matin de dimanche. Par la fenêtre ouverte, je voyais mes camarades déjà rangés à leurs places, et M. Hamel, qui passait et repassait avec la terrible règle en fer sous le bras. Il fallut ouvrir la porte et entrer au milieu de ce grand calme. Vous pensez, si j'étais rouge et si j'avais peur!
Eh bien, non. M. Hamel me regarda sans colère et me dit très doucement:
«Va vite à ta place, mon petit Frantz; nous allions commencer sans toi.»
J'enjambai le banc et je m'assis tout de suite à mon pupitre. Alors seulement, un peu remis de ma frayeur, je remarquai que notre maître avait sa belle redingote verte, son jabot plissé fin et la calotte de soie noire brodée qu'il ne mettait que les jours d'inspection ou de distribution de prix. Du reste, toute la classe avait quelque chose d'extraordinaire et de solennel. Mais ce qui me surprit le plus, ce fut de voir au fond de la salle, sur les bancs qui restaient vides d'habitude, des gens du village assis et silencieux comme nous, le vieux Hauser avec son tricorne, l'ancien maire, l'ancien facteur, et puis d'autres personnes encore. Tout ce monde-là paraissait triste; et Hauser avait apporté un vieil abécédaire mangé aux bords qu'il tenait grand ouvert sur ses genoux, avec ses grosses lunettes posées en travers des pages.
Pendant que je m'étonnais de tout cela, M. Hamel était monté dans sa chaire, et de la même voix douce et grave dont il m'avait reçu, il nous dit:
«Mes enfants, c'est la dernière fois que je vous fais la classe. L'ordre est venu de Berlin de ne plus enseigner que l'allemand dans les écoles de l'Alsace et de la Lorraine... Le nouveau maître arrive demain. Aujourd'hui c'est votre dernière leçon de français. Je vous prie d'être bien attentifs.»
Ces quelques paroles me bouleversèrent. Ah! les misérables,voilà ce qu'ils avaient affiché à la mairie.
Ma dernière leçon de français!...
Et moi qui savais à peine écrire! Je n'apprendrais donc jamais! Il faudrait donc en rester là!... Comme je m'en voulais maintenant du temps perdu, des classes manquées à courir les nids ou à faire des glissades sur la Saar! Mes livres que tout à l'heure encore je trouvais si ennuyeux, si lourds à porter, ma grammaire, mon histoire sainte me semblaient à présent de vieux amis qui me feraient beaucoup de peine à quitter. C'est comme M. Hamel. L'idée qu'il allait partir, que je ne le verrais plus me faisait oublier les punitions et les coups de règle.
Pauvre homme!
C'est en l'honneur de cette dernière classe qu'il avait mis ses beaux habits du dimanche, et maintenant je comprenais pourquoi ces vieux du village étaient venus s'asseoir au bout de la salle. Cela semblait dire qu'ils regrettaient de ne pas y être venus plus souvent, à cette école. C'était aussi comme une façon de remercier notre maître de ses quarante ans de bons services, et de rendre leurs devoirs à la patrie qui s'en allait...
J'en étais là de mes réflexions, quand j'entendis appeler mon nom. C'était mon tour de réciter. Que n'aurais-je pas donné pour pouvoir dire tout au long cette fameuse règle des participes, bien haut, bien clair, sans une faute; mais je m'embrouillai aux premiers mots, et je restai debout à me balancer dans mon banc, le coeur gros, sans oser lever la tête. J'entendais M. Hamel qui me parlait:
«Je ne te gronderai pas, mon petit Frantz, tu dois être assez puni... voilà ce que c'est. Tous les jours on se dit: Bah! j'ai bien le temps. J'apprendrai demain. Et puis tu vois ce qui arrive... Ah! ç'a été le grand malheur de notre Alsace de toujours remettre son instruction à demain. Maintenant ces gens-là sont en droit de nous dire: Comment! Vous prétendiez être Français, et vous ne savez ni parler ni écrire votre langue!... Dans tout ça, mon pauvre Frantz, ce n'est pas encore toi le plus coupable. Nous avons tous notre bonne part de reproches à nous faire.
«Vos parents n'ont pas assez tenu à vous voir instruits. Ils aimaient mieux vous envoyer travailler à la terre ou aux filatures pour avoir quelques sous de plus. Moi-même n'ai-je rien à me reprocher? Est-ce que je ne vous ai pas souvent fait arroser mon jardin au lieu de travailler? Et quand je voulais aller pêcher des truites, est-ce que je me gênais pour vous donner congé?...»
Alors d'une chose à l'autre, M. Hamel se mit à nous parler de la langue française, disant que c'était la plus belle langue du monde, la plus claire, la plus solide: qu'il fallait la garder entre nous et ne jamais l'oublier, parce que, quand un peuple tombe esclave, tant qu'il tient sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison... Puis il prit une grammaire et nous lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de patience à ses explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme voulait nous donner tout son savoir, nous le faire entrer dans la tête d'un seul coup.
La leçon finie, on passa à l'écriture. Pour ce jour-là, M. Hamel nous avait préparé des exemples tout neufs, sur lesquels était écrit en belle ronde: France, Alsace, France, Alsace. Cela faisait comme des petits drapeaux qui flottaient tout autour de la classe pendu à la tringle de nos pupitres. Il fallait voir comme chacun s'appliquait, et quel silence! on n'entendait rien que le grincement des plumes sur le papier. Un moment des hannetons entrèrent; mais personne n'y fit attention, pas même les tout petits qui s'appliquaient à tracer leurs bâtons, avec un coeur, une conscience, comme si cela encore était du français... Sur la toiture de l'école, des pigeons roucoulaient bas, et je me disais en les écoutant:
«Est-ce qu'on ne va pas les obliger à chanter en allemand, eux aussi?»
De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui comme s'il avait voulu emporter dans son regard toute sa petite maison d'école... Pensez! depuis quarante ans, il était là à la même place, avec sa cour en face de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage; les noyers de la cour avaient grandi, et le houblon qu'il avait planté lui-même enguirlandait maintenant les fenêtres jusqu'au toit. Quel crêve-coeur ça devait être pour ce pauvre homme de quitter toutes ces choses, et d'entendre sa soeur qui allait, venait, dans la chambre au-dessus, en train de fermer leurs malles! car ils devaient partir le lendemain, s'en aller du pays pour toujours.
Tout de même il eut le courage de nous faire la classe jusqu'au bout. Après l'écriture, nous eûmes la leçon d'histoire; ensuite les petits chantèrent tous ensemble le BA BE BI BO BU. Là-bas au fond de la salle, le vieux Hauser avait mis ses lunettes, et, tenant son abécédaire à deux mains, il épelait les lettres avec eux. On voyait qu'il s'appliquait lui aussi; sa voix tremblait d'émotion, et c'était si drôle de l'entendre, que nous avions tous envie de rire et de pleurer. Ah! je m'en souviendrai de cette dernière classe...
Tout à coup l'horloge de l'église sonna midi, puis l'Angelus. Au même moment, les trompettes des Prussiens qui revenaient de l'exercice éclatèrent sous nos fenêtres... M. Hamel se leva, tout pâle, dans sa chaire. Jamais il ne m'avait paru si grand.
«Mes amis, dit-il, mes amis, je... je... »
Mais quelque chose l'étouffait. Il ne pouvait pas achever sa phrase.
Alors il se tourna vers le tableau, prit un morceau de craie, et, en appuyant de toutes ses forces, il écrivit aussi gros qu'il put:
«VIVE LA FRANCE!»
Puis il resta là, la tête appuyée au mur, et, sans parler, avec sa main il nous faisait signe:
«C'est fini...allez-vous-en.»

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8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 18:34

Au vu de l'évolution de l'actualité politique, voici un article qui vient de sortir, en primeur et à titre exceptionnel, sur le site de Net Capital avant sa parution dans la revue papier.

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8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 12:22

Connaissant les capacités de "ré-ingénièrie fisco-légale" de nos dirigeants politiques, Rien n'est certain.
Mais, pour ceux qui sont concernés, nos amis du Parti Républicain
publient sur leur site une information qui pourrait être utile... A vous de voir !

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7 mai 2008 3 07 /05 /mai /2008 06:00

C'est le titre d'un article publié ce mercredi par Vers L'Avenir et que vous pouvez lire ICI

M. à J. ce 8 mai :
Je n'ai pas encore eu l'ocasion de regarder l'émission annoncée, mais il semble que passée la partie folklorique où on voit quelques militants distribuer des tracts, le contenu était assez intéressant. Elle devrait prochainement être en ligne sur :
http://blogrtbf.typepad.com/qalu//videos.html
J'ai reçu une copie de cet article du "Soir" dont le choix de la photo d'illustration a du agacer (délicat euphémisme !)... certain(s) !

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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 19:56

Une définition étonnante trouvée dans le "Nouveau dictionnaire universel" de Maurice Lachaire, publié en France, en deux volumes à la fin du XIXème siècle. on y lit, page 1.576 : "En Belgique, le Flamand se sépare profondément du Wallon. Ces deux éléments ne peuvent se mêler. Le Flamand est un peuple actif, laborieux, positif, mais qui a les défauts de ses qualités. Exclusivement adonné à la vie matérielle, il est froid, égoïste, sans âme. La spéculation, le mertcantilisme ont étouffé chez lui les sentiments généreux"...
Avec plus d'une centaine d'années d'avance, Maurice Lachaire faisait peut-être allusion à certains dirigeants politiques ?

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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 12:15

Je pense que j'ai oublié d'en parler...

Depuis l'été 2007; les époux et les cohabitants en France ne paient plus de droits de succession sur le capital qu'ils héritent de leur partenaire. Mais, même pour les enfants, le nouveau système est nettement plus avantageux. Le montant sur lequel aucun droit de succession ne doit être versé a été porté de 50.000 à 150.000 euros par héritier.

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« Le courage. C'est de refuser la loi du mensonge triomphant, de chercher la vérité et de la dire »  (Jean Jaurès)
*
« (…) il n'existe aucun accommodement durable entre ceux qui cherchent, pèsent, dissèquent, et s'honorent d'être capables de penser demain autrement qu'aujourd'hui et ceux qui croient ou affirment de croire et obligent sous peine de mort leurs semblables a en faire autant. » (Marguerite Yourcenar)
*

« Ce qui nous intéresse ce n'est pas la prise de pouvoir mais la prise de conscience. » (Armand Gatti)

Les textes publiés ici sont évidemment libres de droits et peuvent être reproduits ou diffusés, en partie ou en entier... sans modération à condition d’en citer la source.

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- La loi d'unanimité et de contagion
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- Les réformes des régimes de retraites - Comparons la Belgique et la France
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- Une histoire de la Wallonie (Institut Jules Destrée)
- Les pouvoirs en Wallonie et environs, mode d'emploi (Crisp)
- Wallons et Bruxellois francophones, pour en finir avec le syndrome de Stockholm !
- ISF - Impôt de solidarité sur la fortune, de quoi s’agit-il ?
 
- Aux origines de la frontière linguistique 
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La Wallonie sauvera-t-elle l'Europe ? 

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