Un an après, quel est le premier bilan de celui qui allait changer la vie ? J’étais assez dubitatif dans mon billet d’humeur. Je dois reconnaître que je me suis trompé.
La crise bancaire est passée par là. Certes, en politique intérieure, il a fait, à on niveau ce que d’autres (Leterme par exemple…) ont fait à leur niveau : parer au plus pressé et mettre en place les outils nécessaire à sauver le système mis en péril par les banquiers qui, soit dit en passant, semblent bien être reparti comme avant. Avec l’argent de ceux qui ont payé la crise. Les citoyens ordinaires.
Heureusement, il y a la politique étrangère. Beau bilan… Le président de l’autorité palestinienne dégoûté vient de jeter l’éponge… En Irak, rien ne progresse vraiment, la déstabilisation s’étend à la région… En Afghanistan, on vient d’installer au pouvoir un dictateur corrompu…
Tout va bien. « Yes we can’t ! »
Que constatons-nous aujourd’hui ?
Aujourd’hui, Obama rend visite à son banquier (les Chinois ont acheté le déficit américain, il a intérêt à se tenir à carreau) et s’écrase sur la défense des droits de l’Homme (acceptant que qu’une seule chaîne de télé chinoise filme son débat avec des étudiants triés sur le volet et la diffuse en différé.). il ne manque plus que les « Youwécés » sabotent le sommet de Copenhague sur le réchauffement climatique pour permettre aux Chinois de devenir la première puissance mondiale dans 10 à ou 20 ans… Mais là, je délire…. Oui surement...