- Une interview de Régis Dandoy, chercheur au Cevipol, le centre d’étude de la vie politique de l’ULB sous le titre « La démocratie favorise les mouvances nationaliste »
- Un texte de Catherine Lanneau, Docteur en Histoire de l’université de Liège, sur ce qu’il est convenu d’appeler « la période française ». Joliment titré : « Quand Bruxelles chantait la Marseillaise ». (*)
- Un résumé (exercice difficile !) sous forme de carte blanche du texte présenté ci avant : « La fin du syndrome de Waterloo ? ».
(*) L'auteur retient de ces vingt ans de « Belgique française » que « pour les habitants des provinces wallonnes, l'occupation (sic !) française a été globalement vécue comme une période de stabilité retrouvée. Elle a fixé les cadres institutionnels et judiciaires dont nous sommes toujours tributaires (code Napoléon, division en provinces), elle a contribué à dynamiser notre économie (...). Mais le côté pile est inséparable du côté face : sans sombrer dans la « légende noire », on évoquera les rigueurs du centralisme et la propension des fonctionnaires à gérer nos régions en terrains conquis, la persécution religieuse et les confiscations de biens écclésiastiques, les effets de la conscription(...) » Oubliant de préciser que les autres régions de Frances étaient soumises au même régime !